Durrell met un cran d'arrêt à son nouveau quatuor avignonnais pour raconter l'expérience de sa rencontre avec le taoïsme. Il évoque avec plaisir, non sans une bonne dose d'humour, les moments délicieux où il s'est trouvé séduit par "le sourire du Tao": une fin de semaine avec un gérontologue chinois du nom de Jolan Chang, une autre dans un monastère tibétain établi en France et sa rencontre de Vega, jeune fille "au regard tantrique", avec qui il part sur les traces de Nietzsche et de Lou Andreas Salomé.
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