La question à laquelle cet ouvrage entend répondre est la suivante : comment expliquer que, lors de ce qu’on appelle la Révolution tranquille, l’Église n’ait opposé aucune résistance au démantèlement de son œuvre (en éducation, en soins de santé, en travail social)? Non seulement l’Église n’a pas résisté à passer le témoin à l’État en ces domaines, mais elle a participé avec enthousiasme à son propre effacement, si bien que, en quelques années, ses effectifs ont été radicalement réduits et son influence spirituelle profondément diminuée.
Genre de support
volume
Notes
Comprend des références bibliographiques (pages 369-379) et un index.
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